Le BRF et le broyat au potager.
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✅Le broyeur que j’utilise depuis des années ► https://urlz.fr/jDY6
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✅Quelques études sur le BRF
►https://urlz.fr/jDYb
►https://urlz.fr/jDYa
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🥦 RDV sur TERRA-POTAGER pour tous les calendriers, les itinéraires de cultures, les podcasts, des articles hyper qualitatifs, des forums, de l’entraide… ►https://bit.ly/terra-potager
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📘 Le livre « Les 10 clés d’abondance au potager d’Olivier »
Expérience et connaissance autour des mécanisme de fertilité d’un potager bio
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Vidéo tournée, montée, réalisée, sonorisée, par Olivier Puech, tous droits réservés.
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🎵🎵 Crédits musicaux
Frederic & Guy-Jean Maggio
Chaîne Youtube ► https://www.youtube.com/channel/UCxZt8tCM2ePj56xrmXQ44-A
Licence Hooksound
https://www.hooksounds.com/
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00:00 Le BRF et le broyat au potager
02:07 Zoom sur le broyat au potager, retour sur plusieurs années
04:50 Zoom sur le BRF au potager
08:55 Les inconvénients à utiliser du BRF ?
10:05 La faim d’azote avec le BRF ou le broyat
11:05 Enfouir son BRF ou le laisser en paillage
13:25 Retour sur la notion de rapport carbone/azote et disponibilité des minéraux
16:15 Quelles variétés de bois broyer pour faire du BRF ou du broyat ?
17:15 Quand tailler, broyer, épandre le BRF ?
18:21 Quel broyeur choisir ?
et bonjour à tous bienvenue dans cette
nouvelle vidéo aujourd’hui on se
retrouve pour une grosse thématique ce
sont vraiment des sujets qui me
passionnent on va parler de boire on va
parler de broyat on va parler de boire
ramial fragmenté on verra que chacun
agit différemment sur le sol on verra si
c’est positif ou un peu moins positif
pour le potager on verra aussi un retour
sur de nombreuses années en arrière ça
fait longtemps que je pratique que ce
soit le broyable ou le BRF on verra
aussi de nouvelles expériences que vous
pouvez voir juste derrière moi encore
plein de contenus à aborder pour
aujourd’hui alors en train de pas on est
parti pour cette nouvelle vidéo
[Musique]
alors on attaque directement avec la
différence entre d’un côté du BRF et
dans notre côté du broyat le BRF ça va
être ce qu’on appelle du bois amial
fragmenté les rameaux ce sont de jeunes
pousses de jeunes branches des branches
qui ont alors on dit souvent moins de 7
cm de diamètre mais moi je caricature un
peu cette notion pour moi du BRF tout
frais tout jeune tout vert ce sont des
branches qui font moins de 1 allez on va
dire moins de 2 cm et là on est vraiment
dans une notion de boire ramial
fragmenté on va broyer des rameaux des
jeunes pousses là vous voyez par exemple
un rameau d’olivier et l’avantage de ces
jeunes pousses c’est qu’elles sont
flexibles elles sont souples elles sont
remplies d’énergie de sucre de cellulose
et elles n’ont pas fait encore trop de
lignes et la Ninine elle c’est ce qu’on
va retrouver dans le broyat le broyat
lui au contraire ce sont des broyats de
bois souvent ancien des branches
épaisses costaud dure marron et ça on va
voir dans la suite de la vidéo que de
broyer des jeunes rameaux tout souples
tout frais tout vert bien rempli
d’énergie ou de broyer du bois ancien ça
n’a pas du tout la même incidence sur le
sol du potager
[Musique]
alors on revient d’abord sur le broyage
avec essentiellement du bois bien
costaud bien ancien bien épais bien dur
qui développe beaucoup de rigidité de
linine et ça moi je suis conscient et
les connaissances notamment
scientifiques le disent et le répète on
a maintenant beaucoup d’études à ces
sujets ces apports de bois très carbonés
vont demander beaucoup d’azote dans le
sol notamment les premières semaines les
premiers mois parfois même les premières
années si votre sol ne travaille pas à
toute vitesse donc moi ça m’est arrivé
d’en utiliser quand je taille des gros
arbres quand je taille mes fruitiers
j’ai même fait venir parfois des bennes
des paysagistes qui ne savent pas quoi
faire de leur broyat et comment je l’ai
utilisé pour ne pas trop générer de fin
d’azote dans mon potager j’en ai mis
essentiellement dans mes allées pour
mieux gérer l’ennerbement et du coup un
an deux ans après ben je me retrouve à
récupérer du compost de broyat qui s’est
décomposé petit à petit et se compose là
je ne risque plus ensuite de fin d’azote
et bien je m’amuse par moment à le
mettre sur mes parcelles pour continuer
le moment améliorer le sol de mon
potager ça m’arrive aussi d’en mettre
sur mes parcelles peut-être que l’année
dernière vous m’avez vu dans les vidéos
à ramener du broyat très grossier
notamment de la déchetterie j’hésite pas
à récupérer des broyats du village
surtout comme maintenant les pesticides
sont interdits donc il y a très peu de
risques que ces bois soient avec des
mauvaises particules donc je ramène ça
ça complète mes propres résidus végétaux
et j’en mets mais simplement en paillage
de surface surtout je ne vais pas
l’intégrer au sol ça protège mon sol en
dessous c’est un paillage qui est quand
même assez costaud assez durable même si
là un an après j’ai déjà une grande
partie du paillage qui a disparu qui
s’est fait minéraliser qui qui s’est
humifié en partie qui continue de
constamment améliorer mon sol donc du
broyat vous pouvez en utiliser au
potager mais faites très attention
tu ne matière très carbonée qui va
solliciter l’azote et nos cultures ont
besoin d’azote donc attention à ne pas
générer de carences mais on verra tout à
l’heure dans la vidéo que de toute façon
on peut toujours équilibrer avec
d’autres apports pour continuer le Mans
avoir de belles récoltes au potager
[Musique]
[Musique]
alors on passe maintenant au BRF1 au
bois mais le bois raméal fragmenté donc
le bois tout jeune le bois tout frais et
à mon sens c’est une ressource qui est
vraiment beaucoup plus profitable pour
le potager parce que là on va pas être
sur quelque chose de trop dur de trop
rigide on va être sur une matière qui
est quand même assez solide qui va
apporter de l’humus qui va créer du sol
on n’est pas non plus sur du bois qui va
mettre des années à se décomposer au
contraire on n’est pas du tout non plus
par exemple là dans mes oliviers que je
suis en train de tailler j’ai aussi des
plans de chayotte et là vous voyez que
c’est très vert c’est très mou c’est
très flasque donc ça ça va pas générer
de sol ça va pas faire travailler les
champignons ça va pas créer du musc
parce que c’est vraiment trop peu
carboné ça va vite se minéraliser par
contre le BRF lui vous avez dedans des
rameaux un petit peu de bois tout jeune
et là on est vraiment dans un superbe
équilibre entre le monde du carbone et
le monde de la zone on va quand même
sollicité les champignons on va recréer
une activité biologique dans un sol tout
jeune et c’est ce que moi je me je
m’appelle à faire dans mes nouvelles
parcelles c’est pour ça que je vais y
incorporer du BRF on va aussi générer
une meilleure rétention en eau pour
parce que tout ça pardon ça va recréer
comme un sol éponge on va relancer à
terme de trois six mois un an après une
énorme activité bactériologique parce
que les champignons auront dégradé le
BRF et ensuite ça va intéresser les
bactéries donc vraiment apporter du BRF
plutôt que des choses trop vertes ou
plutôt que des choses trop marrons et
bien on est dans un bon équilibre pour
restructurer un sol pour relancer une
activité biologique pour redonner vie
vraiment à un sol qui en demande
[Musique]
alors au passage je vous montre quelques
images d’il y a je sais pas ça doit
faire 5-6 ans ou j’ai utilisé déjà du
BRF toujours avec le même broyeur qu’on
verra tout à l’heure toujours pareil des
tailles de tous mes arbustes des rameaux
qui poussent sur l’année ou sur les deux
dernières années je vais mettre ça sur
deux trois centimètres et l’incorporer
ou fumier à la terre sur les premiers
centimètres
donc j’en ai mis dans mon sol je peux
vous dire qu’il n’y a plus aucune trace
alors je le fais pas toutes les années
parce que c’est quand même une forte
sollicitation d’azote même si on est
dans un rapport carbonazote plus bas que
le bois on sollicite quand même
fortement de l’azote et on reste le
potager c’est quand même le monde de
l’azote on a des cultures je vous le
répète qui sont très gourmandes d’azote
qui pousse très vite et il faut pas
continuer le Mans amener du bois donc il
faut le faire tous les trois quatre cinq
ans pour relancer un petit peu
l’activité des champignons donc moi
c’est ce que j’ai fait il y a 5 ans je
le refais beaucoup cette année j’avais
incorporé ça sur les premiers
centimètres et ça fait partie avec tous
les autres amendements que j’ai pu
apporter les composts les paillages
diversifiés ça fait partie des apports
qui ont vraiment considérablement
améliorer mon sol qui ont relancé
l’activité biologique qui ont relancé
l’attrait des vers de terre parce que
les vers de terre sont attirés par le
résultat de la décomposition par des
champignons c’est vraiment toute une
chaîne biologique qui se met en route
donc voilà vous dire que j’en ai
vraiment une bonne première expérience
et c’est pourquoi pour relancer les
parcelles que vous voyez derrière moi
notamment sur certaines d’entre elles je
vais pratiquer à nouveau ses apports de
BRF
[Musique]
[Musique]
alors pour bien aborder un sujet il faut
aussi parler des contraintes et le BRF
en a sinon ce serait une solution
universelle il y en aurait dans tous les
potagers il y en aurait dans tous les
champs et c’est très loin d’être le cas
alors moi j’y vois deux contraintes
essentielles la première ça va être ce
que j’appelle la logistique moi ici par
exemple pour pailler un mètre carré avec
du BRF il me faut presque un mètre cube
de branchage ça va me donner une bonne
grosse brouette de broyade de BRF et je
vais pailler un mètre carré donc il me
faut du temps je peux vous dire que j’y
passe au moins une demi-heure donc si
vous avez 100 mètres carrés voilà il
vous faut trouver 50 heures de temps il
vous faut du matériel il vous faut du
broyeur il vous faut du transport si
jamais vous allez chercher le broyat
ailleurs donc tout ça ça a un coût un
coût énergétique un coup logistique un
coup matériel
un temps disponible et si on le compare
par exemple avec les engrais des mêmes
des engrais naturels il faut juste le
poignet pour pour fertiliser un mètre
carré une poignée par rapport à un mètre
cube bon bien ce sont des coûts
logistiques énergétiques différents donc
ça il faut le mesurer et puis ensuite
l’autre contrainte ça va être la fin
d’azote ça maintenant il y a des tonnes
d’études on a des années de recul moi je
sais que depuis la première fois où
j’avais abordé ce sujet il y a 5 ans on
avait pas encore toutes ces nouvelles
études qui qui sont disponibles à je
vous mets les liens sous la vidéo et
clairement le BRF a un gros effet
dépressif d’azote sur les premiers mois
voire même sur la première année on a
des résultats économiques pour les
professionnels qui sont pas à la hauteur
et même deux trois ans après les
résultats économiques sont comment dire
ils ne sont pas miraculeux c’est juste
qu’on va relancer un sol qu’on va
relancer une activité biologique qu’on
va capturer du carbone et que si on
rajoute des enjeux à la fois écologique
à la fois de sol avec l’envie de
produire du légume et bien là
à mon sens on a vraiment un réel intérêt
à utiliser du BRF dans son potager
[Musique]
alors le débat fer à gérer entre les
différentes approches du BRF il y a les
défenseurs d’un apport en surface il y a
les défenseurs d’une intégration dans
les premiers centimètres de sol mais
comment dire là aussi il y a quand même
maintenant des vérités qui se dégagent
on a le recul sur de nombreuses années
je vous mets justement une capture
d’écran d’une des études qui qui résume
bien cette problématique d’intégrer le
BRF ou de juste le laisser en surface et
en fait les deux pratiques sont
positives mais d’intégrer le BRF dans
les 10 premiers centimètres de sol alors
on parle souvent d’une épaisseur de 2-3
cm de BRF qu’on incorpore dans 10 cm de
sol et bien forcément ça va aller plus
vite en fait on va mettre en contact le
BRF de façon maximale avec l’activité
biologique déjà présente dans le sol ça
va aller plus vite ça va se décomposer
plus vite ça va créer un humus un sol
éponge de façon plus rapide mais par
contre on va perdre contre les faits
positif du paillage et un paillage de
sol ça protège du soleil ça protège des
excès de pluie des excès de chaleur ça
protège ouais vraiment l’activité
biologique dans le sol puis aussi le
fait de laisser son BRF en surface ou de
l’intégrer ça va agir sur la fin d’azote
il faut le savoir si vous intégrez le
BRF vous aurez une fin d’azote qui va
être plus rapide plus violente alors que
si vous le laissez empaillage vous aurez
aussi une fin d’azote mais beaucoup plus
légère beaucoup plus espacées sur le
temps et si votre sol d’ailleurs est
déjà bien riche d’azote de d’autres
apports et bien vous ne verrez
pratiquement pas de signes sur vos
cultures au potager donc comment dire
moi ici par exemple je suis du signe de
la balance alors forcément qu’est-ce que
je vais faire sur cette nouvelle
parcelle derrière moi et bien je vais à
la fois incorporer une partie de mon BRF
et ensuite une fois que que
l’intégration est réalisée en partie je
rajoute une couche de BRF en paillage
comme ça j’aurai je l’espère en tout cas
les effets bénéfiques du BRF intégré
dans le sol mais aussi l’effet bénéfique
du BRF en tant que paillage pour bien
protéger mon sol en dessous
[Musique]
pour revenir encore et aller une
dernière fois sur ce monde du carbone ce
monde de l’azote vraiment j’y tiens
parce que moi le premier en fait j’ai
mis des années à comprendre tout ça ça
m’a d’ailleurs fait faire beaucoup
d’erreurs les premières années de mal le
comprendre je veux vraiment revenir avec
vous sur ces notions et vous montrer que
par exemple une parcelle et bien je l’ai
entièrement Paillé uniquement avec du
broyat de mon plan de chayotte donc vous
voyez que tout ça c’est très vert c’est
très souple et la résultante ça va être
quoi ça va être que ça va être
rapidement dégradé par l’activité
bactériologique du sol là dans six mois
on ne verra plus rien de tout ça alors
l’inconvénient c’est qu’on ne crée pas
de sol parce que c’est pas assez solide
ça ne va pas générer du musc mais
l’avantage c’est que ça va libérer
rapidement des minéraux c’est un sucre
rapide quelque part et ça va nourrir nos
cultures et au contraire le bois lui on
est dans le monde du carbone on va créer
du sol et ce que je veux vous dire c’est
qu’au potager il faut constamment penser
à la biodisponibilité de nos apports ça
veut dire à quelle vitesse nos apports
vont être disponibles par nos cultures
le bois ça va mettre très longtemps
voire même ça va avoir un effet
dépressif dans les premiers mois ou la
première année alors qu’au contraire
tout ce qui est vert tout ce qui est
même l’urine le sang les cendres la
poudre d’os les tentes les broyattes
ouverts ça c’est très rapide et notre
potager là aussi j’insiste là dessus on
le compare souvent avec la forêt mais
dans la forêt c’est des arbres qui
poussent ce sont des cultures vivaces
donc pour elle c’est pas un souci
d’avoir une biodisponibilité très lente
parce que ce sont des cultures très
lentes mais au potager on a des cultures
très rapides on a des quelque part des
supersultures qui poussent sur 6
semaines et 8 semaines 12 semaines et
donc de raisonner parfois que par des
apports très lents en biodisponibilité
ça peut poser souci sauf si vraiment on
a un solde de fou très humide très actif
qui libère des minéraux qui qui
déchiquettent à toute vitesse mais c’est
pas souvent le cas notamment dans mon
potager et c’est pourquoi
continuellement je diversifie mes
apports entre des apports qui sont
rapidement biodisponibles tout ce qui
est vert même dans l’excès tout ce qui
est liquide très rapidement disponible
et tout ce qui est au contraire très
boiseux très Linux qui lui va créer du
sol mais qui va mettre énormément de
temps à être profitable pour nos
cultures donc à vous jardiner de faire
votre propre recette dans chacun de vos
potagers
[Musique]
[Musique]
alors pour les variétés les essences de
bois qu’on peut utiliser là aussi on a
la chance d’avoir maintenant pas mal de
recul pas mal de vérités qui se dégagent
et on peut en ressortir qu’il est
vraiment préférable d’éviter tout ce qui
est conifère d’éviter tout ce qui est
thuya d’éviter tout ce qui est laurier
je vous mets là aussi une capture
d’études à l’écran c’est essence de bois
tout ce qui est conifères tué à laurier
ça contient ce qu’on appelle des
composés allopathiques ce sont des
composés qui vont gêner les cultures de
notre potager elles sont comme un petit
peu trop épicés comme si si on
raisonnait nous en cuisine tout ce qui
est cette année très développé ou tout
ce qui est terpènes tout ça ce sont des
composés qui peuvent bloquer la
croissance de nos cultures donc on va
éviter de faire un BRF à 100% de
conifères de sapins de thuya ou de
laurier et au contraire tout ce qui est
caduque tout ce qui est érable Fresnes
tout ce qui est moi par exemple ici mes
oliviers les tailles de haies non
conifères et bien là on peut y aller à
présenter parce que c’est beaucoup plus
doux c’est beaucoup moins difficile à
intégrer à digérer pour le sol de notre
potager donc vraiment si vous utilisez
des conifères ou des lauriers vous
pouvez le faire mais à très petites
doses et peut-être plutôt uniquement en
paillage que de les incorporer
directement dans votre sol
je finis avec des questions qui
reviennent très souvent sur le BRF quand
est-ce qu’on taille qu’on broie qu’on
met au potager et puis aussi le broyeur
à utiliser alors là je vous parle à la
fois de connaissances et d’expérience
donc sur la période pour mettre du BRF
là ce sont plutôt des connaissances qui
sont unanimes et il vaut mieux faire ça
à l’automne alors c’est encore mieux
début milieu d’automne parce que vous
avez encore une activité biologique très
conséquente au potager il fait encore
assez doux et d’apporter votre BRF à
l’automne vous allez réduire la fin
d’azote au printemps même si elle peut
encore avoir lieu et concernant le choix
du broyeur et bien là comme souvent ça
va dépendre de votre contexte moi ici je
l’ai choisi sur plusieurs critères alors
déjà l’aspect pécuniaire un broyeur
c’est un coup de départ ça va de 50
euros pour les tous premiers prix à 5000
euros pour pour les plus costauds
thermiques donc moi j’ai pris vraiment
un milieu de gamme parce que j’ai quand
même du volume va passer j’ai pris un
électrique parce que je voulais pas trop
de nuisances sonores j’ai des voisins et
j’ai pas envie de faire un boucan énorme
j’ai pris un système de de broyat à
turbine ça me fait vraiment des couteaux
qui tournent là ça me fait vraiment du
brouillard que je trouve efficace il est
durable comme pas possible ça fait des
années des arbres entiers ils sont
passés et il est toujours impeccable
donc après chez vous ça va dépendre si
vous voulez plus alors moi je pense que
je fais à peu près 20 30 40 brouettes
grand maximum sur l’année si vous vous
visez plus que ça et bien aller vers du
thermique plus cher attention aussi à la
sécurité plus c’est costaud plus il faut
faire attention mettre du matériel de
sécurité même moi d’ailleurs je devrais
en mettre même à cette échelle de
broyage et puis si au contraire si vous
avez juste une deux trois brouettes
essayez des solutions premier prix alors
je sais que c’est pas très durable c’est
pas très efficace mais peut-être ça
pourra vous dépanner dans mon broyeur je
vous mets la référence sous la vidéo si
vous voulez
pouvoir duquel il s’agit en détail mais
vous dire que vraiment j’en suis
pleinement satisfait dans mon contexte
de potager
[Musique]
voilà pour ce que j’avais à vous dire
sur cette thématique comme à ce jour
peut-être qu’on refera une vidéo dans 5
ans quoi qu’il en soit vous dire que dès
la saison prochaine en suivra
précisément l’évolution de du BRF sur
ces nouvelles parcelles voir s’il y a
une relance de l’activité biologique
voire l’impact sur la fertilité sur les
cultures ce sera intéressant de suivre
tout ça merci pour votre attention votre
visite et puis à bientôt bien sûr pour
de prochaines vidéos Ciao